Une étude, qui va à l’encontre des projections de l’ONU, menée par un économiste de HSBC, estime que la population mondiale sera divisée par deux d’ici 2100, à cause d’une baisse de la natalité et une mortalité en hausse. Gérard-François Dumont, géographe et démographe, explique à BFMTV pourquoi c’est contestable.