Les coefficients de marée vont aller crescendo, avec un pic attendu à 116 le 12 mars, et 115 le lendemain. La mer va alors entrer en conflit avec les rivières, et gêner l’écoulement naturel des eaux. Dans le Montreuillois, sur des terres encore inondées, l’angoisse des sinistrés est à son paroxysme.