S’il a créé la marque de voitures, voire la marque tout court, la plus célèbre du monde, le Commendatore conservait des manières rustres et un rapport aux femmes bien de son époque (traduisez : machisme débridé), ainsi que le rapporte Brock Yates dans son livre : «Enzo Ferrari, l’homme et la machine ».
Enzo Ferrari, des voitures, des rots et des femmes
S’il a créé la marque de voitures, voire la marque tout court, la plus célèbre du monde, le Commendatore conservait des manières rustres et un rapport aux femmes bien de son époque (traduisez : machisme débridé), ainsi que le rapporte Brock Yates dans son livre : «Enzo Ferrari, l’homme et la machine ».