Sergio Ramos se tourne vers l’Afrique

Malgré un exercice plein avec le FC Séville en Liga la saison passée (37 matches joués, 7 buts marqués), Sergio Ramos n’a pas rempilé dans son club formateur. Un an après avoir quitté le PSG, le défenseur espagnol emblématique se retrouve donc libre de tout engagement, guère décidé à raccrocher les crampons à 38 ans bien tassés.

Cet été de nombreuses portes se sont ouvertes au champion du monde 2010, de la MLS nord-américaine à la Saudi Pro League en passant par les championnats turc et brésilien. Mais l’intéressé malgré son grand âge demeure particulièrement gourmand et ne cache pas faire des modalités de son contrat une priorité désormais.

Un intérêt égyptien confirmé en haut lieu

Selon la presse sportive ibère, Sergio Ramos exige pas moins de 500 000 euros mensuels pour apposer sa signature à un nouveau bail. Une somme qui a découragé notamment le Grêmio et qui semble avoir eu raison également des velléités pourtant affirmées du San Diego FC, franchise US flambant neuve.

Pour autant, il est une piste fraîchement apparue, et inattendue, qui a gagné en crédibilité ces dernières heures: celle menant au Zamalek SC. Le club du Caire, en Egypte, serait disposé à répondre aux attentes salariales du vétéran andalou. « Le Zamalek est un grand club et mérite des footballeurs comme ceux-là. Nous considérerions un accord avec Ramos comme quelque chose de positif non seulement sur le plan sportif, mais aussi sur le plan marketing. Le joueur est libre et ce serait un grand avantage de l’embaucher », dixit Ali Hisham Nasr, fils du vice-président de l’institution cairote, dans une interview accordée à la chaîne de télévision nationale.