Les jours passent et les enquêteurs en charge de l’enquête ouverte suite à la plainte pour viol et agression sexuelle contre Kylian Mbappé ne laissent toujours rien filtrer. La justice suédoise n’a d’ailleurs toujours pas cité une seule fois le nom du Madrilène, la presse locale comme l’entourage du joueur étant néanmoins convaincus que le champion du monde tricolore était nommément visé.
Selon Aftonbladet, les policiers se sont en premier lieu concentrés sur le Bank Hotel, l’hôtel où séjournaient Kylian Mbappé ainsi que ses proches et où se seraient déroulés les faits. Les techniciens de la police suédoise y ont recueilli différents éléments, repartant avec plusieurs sacs, et se sont entretenus avec le personnel de l’établissement. Les caméras de surveillances ont également été au cœur des premières investigations.
Alcool à volonté, drogue à disposition
Dix jours après le début de l’affaire, Paris-Match s’est également intéressé à la soirée passée par Kylian Mbappé et ses amis au V****, la boîte où l’ancien Parisien aurait rencontré la jeune femme avec laquelle il a fini la nuit. Une jeune femme parmi les nombreuses demoiselles invitées par les organisateurs de la soirée. Pas moins de « trente jeunes femmes triées sur le volet » étaient en effet présentes pour accompagner Kylian Mbappé et sa bande.
A en croire l’hebdomadaire, ces jeunes femmes ne seraient aucunement des escortes. Mais si elles ne sont pas payées, elles l’alcool, le champagne notamment, coule à volonté et « la drogue pourrait faire partie des réjouissances ». Et libre à elles de faire plus amble connaissance avec les clients de la boîte. « Le deal serait clair : les filles ne sont contraintes à rien, mais si l’une d’elles est attirée par le VIP, rien ne lui interdit de le suivre », écrit ainsi Paris-Match.
L’une d’elles aurait donc suivi Kylian Mabppé à l’hôtel et aurait un rapport sexuel avec le Madrilène, révélait Le Parisien la semaine dernière. Mais cette relation aurait été pleinement consentie dans l’esprit du joueur et les messages échangés le lendemain avec sa partenaire d’un soir le confirmeraient. De quoi lui faire penser que cette jeune femme n’est pas la plaignante.