PSG-ASSE, la VAR fait encore scandale

A chaque semaine son lot de bourdes et polémiques arbitrales. Ce week-end de Ligue 1 n’a évidemment pas échappé à la règle. Comme le match de clôture de la 17e levée de championnat entre le PSG et l’ASSE ce dimanche soir au Parc des Princes.

Au sifflet pour l’occasion, M. Millot a dû composer avec la VAR à deux reprises en première période. Pour valider une main de Pétrot synonyme de penalty sur un centre d’Hakimi (21e), d’abord. Puis pour vérifier le troisième but parisien alors inscrit par Barcola (39e). Une réalisation initialement entérinée et finalement annulée pour une faute présumée du buteur sur Bouchouari.

Une faute difficile à voir, même au ralenti

En observant les images du but de Barcola, M. Millot a choisi de suivre le jugement de son assistant M. Gaillouste, lequel en sollicitant le recours à l’assistance vidéo a estimé que l’action faisait l’objet d’une erreur arbitrale manifeste. Le prérequis à toute utilisation de la VAR. Or à vitesse réelle comme au ralenti, difficile de voir la fameuse faute de Barcola sur Bouchouari…

La veille déjà, la VAR avait fait du zèle lors de l’affiche entre Rennes et Marseille au Rhoazon Park. Pour inciter M. Kherradji à accorder un penalty aux Bretons et à Kalimuendo. Puis pour encourager ce dernier à se déjuger alors qu’il venait d’accorder un penalty aux Phocéens pour une main de Gronbaek dans un mur placé dans la surface. Et pourtant, dans les deux cas, rien n’attestait d’une erreur flagrante de l’arbitre.