Teddy Riner doit prendre son mal en patience. Conséquence de l’opération du coude subie au tout début de l’année pour soigner une vieille douleur. « L’opération s’est bien passée. On reprend des forces avant de repartir au combat », avait-il écrit, restant mystérieux sur sa durée d’indisponibilité.
S’il a dû mettre le judo entre parenthèses, Teddy Riner espère bien être du rendez-vous des prochains Mondiaux, en juin prochain, à Budapest. Mais le Guadeloupéen voit plus loin. Il a déjà en tête les Jeux de Los Angeles en 2028, le dernier objectif de sa carrière. « Je me suis fait opérer dernièrement (du coude) pour justement reprendre rapidement dans les meilleures conditions et surtout rêver encore des Jeux olympiques car à Los Angeles, ça va être un truc de dingue. Surtout quand je sais, là je peux le dire, que ce seront mes derniers. C’est sûr et certain », a-t-il confié au micro de RMC, dimanche.
Mais Teddy Riner n’a pas que le judo en tête. Après avoir officié comme maître de cérémonie lors du concert événement organisé pour les Pièces Jaunes, le quintuple champion olympique s’apprête à officier avec son épouse à la barre de Love is blind, une téléréalité lancée par Netflix dans laquelle deux groupes de quinze célibataires apprennent à se connaître et se fiancent sans jamais se voir.
Teddy Riner ravi de faire l’aventure avec sa femme
Présent ce mardi à la table de C à vous, le poids lourd s’est expliqué sur sa présence dans le costume de présentateur. « Moi qui aie été un peu élevé dans cette sphère-là, celle des histoires d’amour, avec Sissi l’impératrice, lorsqu’on m’a proposé cette émission… », a-t-il confié pour commencer.
Surtout, la possibilité de faire équipe avec sa femme a achevé de le convaincre. « Pour moi c’était logique de faire cette première expérience avec ma femme, parce qu’on ne l’a jamais vue au-devant de la scène, analyse le judoka. Je n’ai jamais fait quoi que ce soit avec elle… Et quand ça parle d’amour, forcément, on aime bien. Aider des gens à trouver l’amour, c’est top », a-t-il poursuivi, ajoutant : « Je ne peux pas en dire plus, mais c’était une belle aventure. »