Tous les voyants sont au vert pour le PSG à l’approche de son match face à Brest pour le compte des barrages de la Ligue des champions. Warren Zaïre-Emery manquera certes à l’appel en raison de sa blessure à le cheville ramenée du déplacement à Stuttgart mais pour le reste, l’effectif est au complet et la confiance est de mise.
Large vainqueur de Monaco (4-1), vendredi, le club de la capitale a gagné neuf de ses dix rencontres disputées en 2025 et fait de plus en plus forte impression. Pour Eric Roy, l’entraîneur finistérien, ce barrage de Ligue des champions a des allures de « Mission Impossible ». « On m’a dit que Tom Cruise était à Paris pour recevoir un prix. On a essayé de le joindre, malheureusement, il n’était pas disponible et on fera sans lui », a d’ailleurs plaisanté l’ancien milieu de terrain.
L’état de la pelouse au cœur des discussions
Luis Enrique rejette de son côté l’idée d’un excès de confiance. « Les matches face à Brest sont toujours délicats. Tous les matches à domicile ou à l’extérieur face à cette équipe sont difficiles. C’est une équipe qui travaille, qui est bonne défensivement et offensivement. Elle peut marquer deux buts en deux minutes. Elle est bonne sur les centres et les seconds ballons. On sait que Brest peut toujours marquer contre nous, avec Ajorque ou Del Castillo », a ainsi confié l’entraîneur parisien, ajoutant : « On est favoris, ça paraît évident, mais le foot est surprenant et le foot ne récompense pas toujours celui qui joue le mieux.»
Mais côté parisien, la principale inquiétude concerne sans doute l’état de la pelouse du Roudoudou où va se joueur la rencontre. Les joueurs franciliens ont l’ont découverte, lundi soir, pour le traditionnel entraînement d’avant-match et joueurs comme dirigeants n’ont pas aimé ce qu’ils ont vu. « C’est un match de Ligue des champions mais la pelouse n’est pas très bonne donc il va falloir faire attention », a d’ailleurs confié à cet effet Nuno Mendes dans des propos relayés par RMC. L’enchaînement des rencontres au Roudourou vaut à la pelouse d’être dégradée, certaines zones paraissant particulièrement touchées.