« Elle n’arrivait plus à se tenir sur ses jambes jusqu’à s’écrouler par terre ». Taeko parle ici de son amie droguée au GHB à son insu dans un bar de Paris la nuit d’Halloween. «Ça peut arriver à tout le monde. C’est important de le retenir, il faut s’informer, sensibiliser, pour que ça s’arrête», ,poursuit-elle. Depuis la rentrée, les témoignages de victimes du GHB ont explosé avec le retour des soirées étudiantes, comme à Grenoble, fin octobre dernier lors d’une soirée de l’École de management.