L’inflation n’épargne pas les restaurateurs et plus particulièrement les spécialistes du kebab. Depuis janvier, ils payent par exemple 20% plus cher le poulet qui sert à garnir leur sandwich. La répercussion sur le consommateur est donc inévitable mais les gérants que nous avons rencontrés essaye de contenir cette hausse : pas question de perdre les afficionados de ce repas bon marché.