Dans Le Parisien dimanche, le nouveau ministre de l’Éducation nationale s’est prononcé pour qu’un professeur puisse s’emparer des heures d’un collègue absent et qu’à son retour, celui-ci compense en rattrapant le temps perdu sur l’emploi du temps du premier. Organisations syndicales et enseignants y voient la menace d’une dégradation de leurs conditions de travail, voire une solution impraticable.