« Si je raconte mon histoire, c’est pour les 4100 enfants qui ne sont pas revenus », raconte Arlette Testyler. En 1942, elle est déportée avec sa famille au Vélodrome d’Hiver de Drancy, mais réussit à s’échapper. Pour BFMTV, cette rescapée raconte ce qu’elle y a vu, « pour que les enfants morts là-bas ne meurent pas une deuxième fois ».