Plus de 70 personnes ont été jugées et 64 ont été condamnées en Guadeloupe pour des « actions violentes ou illégales » depuis le début de la crise sociale qui secoue l’île. « Il fallait apporter une réponse pénale immédiate face à une vraie menace insurrectionnelle », a expliqué le parquet pointois qui assume « le choix de la tolérance zéro ».