Le cauchemar de Michalak
Présent face à l’Italie lors de la défaite concédée par le XV de France en 2013, Frédéric Michalak avait été l’un des meilleurs symboles de l’après-midi compliqué vécu par les Bleus.
L’Italie a beau régulièrement poser des problèmes au XV de France, à tel point que les troupes de Fabien Galthié se veulent particulièrement méfiantes avant de retrouver la Squadra Azzura, vendredi, pour un match à la vie, à la mort et ce malgré la déroute des Italiens face à la Nouvelle-Zélande, le bilan des confrontations est sans appel. En 47 rencontres face aux Bleus (frappés du coq), les Italiens ne comptent que trois maigres victoires, dont l’une, en 1997, acquises face à des Français qui sortaient d’une semaine de célébrations après le Grand Chelem remporté face à l’Ecosse.
Le dernier succès de l’Italie remonte à dix ans. Le 3 février 2013, deux ans après leur première victoire dans le Tournoi face à la France, les joueurs transalpins remettaient ça en l’emportant 23-18 et cette fois, le succès des hommes de Jacques Brunel était presque logique. Si les Bleus étaient complètement passés au travers, un joueur avait tout particulièrement cristallisé les critiques: Frédéric Michalak Alors qu’il avait brillé à l’automne lors des trois succès remportés face à l’Australie, l’Argentine et aux Samoa, le Toulonnais avait déjoué.
Le ton de la rencontre avait été donné dès le coup d’envoi puisque son coup de pied avait terminé en touche. « Pas la meilleure des entames », devait-il concéder après le match. Et la suite de la rencontre avait été à l’avenant, que ce soit dans au moment de buter, avec deux échecs aux lourdes conséquences, dans son jeu au pied ou dans ses choix de jeu à l’instar d’une sautée pour Benjamin Fall en toute fin de match alors que l’ailier était isolé.
« Je suis déçu, pouvait-il confier. On peut faire mieux. On a été à l’image du match. Beaucoup trop d’imprécisions… » Et Bernard Laporte, son entraîneur au RCT ne fut pas d’un très grand soutien. « Un demi d’ouverture international ne peut pas envoyer directement son coup d’envoi en touche, rater une touche sur une pénalité, expliqua-t-il. Fred est plus mature qu’avant mais il a aussi des faiblesses. Il ne faut pas s’attendre à ce qu’il retourne les matchs à chaque fois.»
De nouveau en difficulté le match suivant contre le Pays de Galles, Frédéric Michalak allait être sanctionné par Philippe Saint-André face à l’Angleterre, en démarrant la rencontre sur le banc au profit de François Trinh-Duc.
Présent face à l’Italie lors de la défaite concédée par le XV de France en 2013, Frédéric Michalak avait été l’un des meilleurs symboles de l’après-midi compliqué vécu par les Bleus.
L’Italie a beau régulièrement poser des problèmes au XV de France, à tel point que les troupes de Fabien Galthié se veulent particulièrement méfiantes avant de retrouver la Squadra Azzura, vendredi, pour un match à la vie, à la mort et ce malgré la déroute des Italiens face à la Nouvelle-Zélande, le bilan des confrontations est sans appel. En 47 rencontres face aux Bleus (frappés du coq), les Italiens ne comptent que trois maigres victoires, dont l’une, en 1997, acquises face à des Français qui sortaient d’une semaine de célébrations après le Grand Chelem remporté face à l’Ecosse.
Le dernier succès de l’Italie remonte à dix ans. Le 3 février 2013, deux ans après leur première victoire dans le Tournoi face à la France, les joueurs transalpins remettaient ça en l’emportant 23-18 et cette fois, le succès des hommes de Jacques Brunel était presque logique. Si les Bleus étaient complètement passés au travers, un joueur avait tout particulièrement cristallisé les critiques: Frédéric Michalak Alors qu’il avait brillé à l’automne lors des trois succès remportés face à l’Australie, l’Argentine et aux Samoa, le Toulonnais avait déjoué.
Le ton de la rencontre avait été donné dès le coup d’envoi puisque son coup de pied avait terminé en touche. « Pas la meilleure des entames », devait-il concéder après le match. Et la suite de la rencontre avait été à l’avenant, que ce soit dans au moment de buter, avec deux échecs aux lourdes conséquences, dans son jeu au pied ou dans ses choix de jeu à l’instar d’une sautée pour Benjamin Fall en toute fin de match alors que l’ailier était isolé.
« Je suis déçu, pouvait-il confier. On peut faire mieux. On a été à l’image du match. Beaucoup trop d’imprécisions… » Et Bernard Laporte, son entraîneur au RCT ne fut pas d’un très grand soutien. « Un demi d’ouverture international ne peut pas envoyer directement son coup d’envoi en touche, rater une touche sur une pénalité, expliqua-t-il. Fred est plus mature qu’avant mais il a aussi des faiblesses. Il ne faut pas s’attendre à ce qu’il retourne les matchs à chaque fois.»
De nouveau en difficulté le match suivant contre le Pays de Galles, Frédéric Michalak allait être sanctionné par Philippe Saint-André face à l’Angleterre, en démarrant la rencontre sur le banc au profit de François Trinh-Duc.