Jean-Marc Reiser, jugé devant les assises du Bas-Rhin pour l’assassinat de Sophie Le Tan, a estimé vendredi qu’il ne « mérit(ait) pas le pardon » des proches de la jeune étudiante qu’il a reconnu avoir tuée et démembrée en septembre 2018. Mercredi, le père de Sophie avait reproché à l’accusé de ne s’être pas avoir présenté ses excuses.