Le PSG a tout renversé, mercredi, face à Manchester City. Menés 2-0, les Parisiens l’ont finalement emporté 4-2, inscrivant quatre buts en à peine plus d’une demi-heure grâce à Ousmane Dembélé (56e), Bradley Barcola (60e), Joao Neves (78e) et Gonçalo Ramos (90e+3).
Si l’entrée en jeu d’Ousmane Dembélé a changé la donne, Bradley Barcola est également apparu totalement métamorphosé après la pause. Une métamorphose qui a tout changé, selon Daniel Riolo. « En première période, c’était à s’arracher les cheveux, a-t-il déploré au micro de l’After sur RMC. A chaque fois qu’il faisait un pas en avant, il faisait un pas en arrière. Il n’osait pas, il n’y avait pas d’audace dans son jeu. Il y en a eu plus après. Il va falloir qu’il maintienne cette confiance. »
Bradley Barcola l’a mal pris
« En joueurs de côté dans le panorama du football européen – avec Foden, Yamal, Savinho – on n’est pas dans ce toucher de balle, a-t-il poursuivi. Qu’il utilise sa force qui est la vitesse, qu’il essaie de mettre à profit ses qualités et surtout qu’il soit audacieux dans sa prise de profondeur. Contre un bloc bas, il aura toujours un peu de mal parce que ce n’est pas un dribbleur hyper à l’aise techniquement. »
Le polémiste de RMC en a profité pour revenir sur le surnom dont il l’avait affublé la saison dernière alors que l’ancien Lyonnais découvrait son nouveau monde à Paris. « S’il ne l’avait pas mal pris et s’il avait compris que ça s’adressait à un jeune joueur qui ne demandait qu’à progresser, il y a plein de pays où les surnoms restent et les joueurs adorent ça, a-t-il confié. S’il l’avait un peu moins mal pris, ça aurait pu être son surnom et ça lui allait parfaitement bien. J’aurais aimé qu’il le prenne bien parce que ce n’était pas méchant. »