Une association de riverains va déposer cette semaine un recours contre la ville pour « carences fautives ». Ses membres militent contre un vacarme nocturne devenu incessant dans ses rues selon eux. Vendue comme un gage de tranquillité, la piétonnisation signe au contraire, selon elle, la fin des nuits tranquilles en multipliant les rues de la soif, les terrasses et les débordements sous les fenêtres des habitants.