La famille de l’enfant tué à Nîmes lundi soir dans une fusillade visant une voiture est une victime collatérale et « n’est absolument associée d’aucune façon » à des faits punissables par la justice, a indiqué ce mardi la procureure de Nîmes, Cécile Gensac, soulignant la « tragédie des plus absolues », vécue par cette famille.