C’est vendredi soir, lors du deuxième prime de cette 14e saison, que Frank Leboeuf fera ses débuts dans l’émission Danse avec les stars sur TF1. Une semaine après Florent Manaudou, Adil Rami et Nelson Monfort, le champion du monde 1998 va fouler le parquet du studio 217 avec sa partenaire Candice Pascal, sur une valse contemporaine. Un show qu’il aborde avec pour seuls objectifs « le plaisir et l’émotion ».
« Je leur ai tous fait un gros chèque donc j’espère gagner ! », plaisante-t-il. L’ancien défenseur de Chelsea et de l’OM doit sans doute vouloir faire mieux que lors d’un autre jeu télévisé auquel il a participé. C’était en 2010. L’ex-international tricolore (57 ans) faisait alors partie du casting de Koh Lanta: Le choc des héros, qui se déroulait en Nouvelle-Calédonie et opposait d’anciens candidats à sept ex-sportifs de haut niveau.
Frank Leboeuf: « Je pleurais tellement j’étais fatigué au bout de trois jours »
Parmi eux, le patineur Gwendal Peizerat, les judokas Djamel Bouras et Frédérique Jossinet, la boxeuse Myriam Lamare ou encore le champion de roller Taïg Khris. Une expérience qui avait vite mal tourné pour Frank Leboeuf, deuxième aventurier à être éliminé par les autres participants. « Rien n’était comestible et la plupart des animaux sur l’île étaient protégés », se souvient-il dans une interview accordée à TV Magazine.
« Tout ce qu’on pouvait trouver était dans l’eau mais on n’avait pas de feu. On bouffait le riz comme ça. On le foutait au soleil, dans l’eau. On mangeait des coquillages au petit-déjeuner. » Le manque de nourriture n’avait pas été le seul problème compliqué à gérer. L’emplacement du camp, la présence des caméras et la fatigue l’avaient aussi fragilisé. « Je pleurais tellement j’étais fatigué au bout de trois jours », se remémore-t-il.
Et de poursuivre: « Je ne connaissais pas bien l’émission. Moi, je vivais à Los Angeles à l’époque. Et je ne comprenais pas les gens qui parlaient aux caméramans et qui expliquaient leur vie. J’avais une tactique, je ne voulais pas parler. C’est vrai que ça m’a un peu gonflé. Je ne voulais pas de télévision, pas de caméra, pas de téléphone et en fait on était tout le temps filmé. » Quinze ans plus tard, le voilà donc dans DALS !