« J’ai eu très peur », Carine Galli se confie

Malgré un week-end chargé, avec notamment la présentation de l’émission « L’Équipe du soir », Carine Galli n’en prend pas moins le temps de s’occuper de son chien. Très proche de celui qu’elle a appelé « Dodu », la journaliste lui a même crée un compte Instagram. Et c’est sur celui-ci qu’elle a posté une vidéo dimanche, juste après être rentrée de sa soirée sur la chaîne L’Équipe. Elle y a raconté un épisode quelque peu traumatisant pour elle, survenu un peu plus tôt dans la journée.

« Je vous fait une petite vidéo avec mon Dodu d’amour. Cet après-midi on était au parc à chiens et il y a un berger australien qui a attaqué Dodu, qui l’a mordu et donné des coups de pattes et Dodu a été blessé juste à côté de l’œil. Il a la chance que son œil n’ait pas été touché parce que ça aurait pu être beaucoup plus grave. J’ai eu très peur (…). C’est horrible parce que ça arrive en quelques secondes. » Puis Carine Galli a expliqué que la propriétaire du berger australien avait tenté de « rejeter la faute sur Dodu, donc là il y a eu une énorme embrouille ».

Drame évité

Et la journaliste de poster trois autres vidéos dans les « stories », dont une dans laquelle elle a fait une déclaration à son cher chien : « Dodu, j’ai eu très peur pour lui, heureusement on a évité le pire, mais je l’aime mon bébé. […] On a évité un drame et j’espère que Dodu maintenant ne va pas avoir peur des bergers australiens, qu’il ne va pas avoir peur de retourner au parc. J’ai eu très très peur et je le câline beaucoup depuis ce soir, même si j’ai dû aller travailler. Maintenant je suis rentrée, je m’en occupe bien, je désinfecte sa plaie et je lui dis à quel point c’est mon trésor. Tu es mon cœur. »

Dimanche soir, Carine Galli était à l’antenne pour débriefer l’actualité sportive de la journée, et notamment le succès de l’Olympique Lyonnais face à Saint-Étienne (1-0) grâce au seul et unique but du match inscrit par l’attaquant des Gones, Alexandre Lacazette. De quoi permettre à l’ancienne compagne de Giovanni Castaldi de penser à autre chose.