JO 2024, un gros problème refait surface

Les médaillés des Jeux Olympiques de Paris ont tous ramené des souvenirs inoubliables en plus de la breloque en question. Mais cette dernière, en revanche, a un côté périssable.

Un peu plus de quatre mois après les JO de Paris, Clément Secchi a partagé une photo de sa médaille de bronze. Et celle-ci est bien effritée. « Peau de crocodile », a écrit le nageur tricolore, médaillé sur le relais 4×100 mètres 4 nages en compagnie notamment de Léon Marchand et Florent Manaudou.

Alerte, les médailles s’effritent

En réaction, son compère Yoann Ndoye-Brouard a pris une photo de sa médaille de bronze, qui est dans un état encore moins bon. « Paris 1924 », a commenté le dossiste tricolore.

Ce n’est pas la première fois que la qualité des médailles de bronze est remise en cause. Pendant la compétition, certains athlètes s’en était plaint, et les organisateurs avaient fait en sorte de changer les breloques défectueuses.

A noter que les médailles d’or des JO de Paris 2024 avait un coût de fabrication estimé à 863 euros par pièce, contre 436 euros pour les médailles d’argent. Les breloques en bronze, mélange de cuivre et d’étain, revenaient à seulement 3,58 euros par unité. Des montants comparables à ceux de Londres en 2012.