Jugé après la mort d’un de ses clients, un vendeur de crack parisien relaxé

Un vendeur de crack a été relaxé après avoir été jugé pour homicide involontaire après la mort de l’un de ses clients. Gérard A. est décédé après lui avoir acheté du crack, une substance dérivée de la cocaïne. « Le lien de causalité n’est pas établi entre la transaction et la mort de Gérard A. », a justifié le tribunal.