Il fut en temps ou les édiles parisiens, et la presse, considéraient que les chevaux polluaient plus que les autos, à cause de leur crottin. Dans un article du Figaro de février 1907, un journaliste saluait la décision préfectorale consistant à réserver les voies centrales des Champs-Élysées aux automobiles, reléguant les hippomobiles sur les bas cotés.
La voiture plus propre que les chevaux ? C’était en 1907
Il fut en temps ou les édiles parisiens, et la presse, considéraient que les chevaux polluaient plus que les autos, à cause de leur crottin. Dans un article du Figaro de février 1907, un journaliste saluait la décision préfectorale consistant à réserver les voies centrales des Champs-Élysées aux automobiles, reléguant les hippomobiles sur les bas cotés.