Première semaine de Ligue des champions bouclée pour Canal+. Pour le lancement de la toute nouvelle formule de la C1, l’UEFA avait étiré la première journée de la phase de ligue sur trois jours, au lieu de deux habituellement. Pour le plus grand plaisir des abonnés, qui ont donc pu suivre sur la chaîne cryptée les débuts de Lille contre le Sporting Portugal (0-2) mardi, du PSG face à Gérone (1-0) mercredi, puis de Brest et Monaco respectivement devant le Sturm Graz (2-1) et le FC Barcelone (2-1) jeudi.
Lors de cette troisième soirée, une courte séquence a agacé les téléspectateurs, Laure Boulleau en prenant comme souvent pour son grade sur X (anciennement Twitter). Alors que les caméras s’attardaient sur Lamine Yamal en train de jongler dans les travées du stade Louis-II, avant le coup d’envoi du match entre l’ASM et le Barça, la consultante, admirative du Blaugrana, a lâché: « Il est beaucoup trop facile techniquement ce garçon. » Un commentaire qui lui a aussitôt valu un recadrage de la part de David Ginola.
Laure Boulleau prend (encore) cher sur X
« C’est quand même la base, savoir jongler avec le ballon quand on joue au football…, a répliqué l’ex-international français. Bon après, tout le monde ne jongle pas comme ça non plus. » Plutôt anodin, ce bref échange a valu à l’ancienne joueuse du PSG de se faire tacler sur X: « Un joueur de foot professionnel fait des jongles, y a Laure Boulleau et Hervé Mathoux qui sont là, ébahis… C’est son métier. Ils seraient capables de s’extasier devant un fromager qui fait du fromage. Merci David Ginola de les avoir calmés aussitôt. »
Souvent critiquées sur les réseaux sociaux, les interventions de l’ex-latérale gauche lors de cette reprise de la Ligue des champions ont à nouveau crispé les observateurs. « Laure Boulleau, on n’en peut plus sérieux. Ce n’est pas possible de dire des conneries comme ça », « Est-ce que quelqu’un sur cette Terre est capable de supporter Laure Boulleau sur le plateau de Canal sans être agacé ? Elle est insupportable, c’est de pire en pire », « Si tu pouvais arrêter de rigoler fort comme une pouf à chaque occasion (…) », peut-on notamment lire.