Le passé trouble de Beckham refait surface

C’est l’une des pages sombres de la carrière de David Beckham – ses déboires extra-sportifs et la relation adultérine qu’il aurait entretenu avec l’ancienne nounou et dame de compagnie de sa femme Victoria. Il y a 20 ans alors qu’il évoluait dans les rangs du Real Madrid, parmi les Galactiques, le « Spice Boy » a fauté selon cette dernière, Rebecca Loos. Une possible maîtresse qui persiste et signe aujourd’hui malgré les dénégations de l’intéressé.

Dans un entretien accordé à El Mundo, Rebecca Loos, désormais professeure de yoga en Norvège et mariée à un médecin, revient sur son premier rendez-vous clandestin avec un David Beckham caché dans le coffre de la voiture pour rallier un restaurant de la famille de l’acteur espagnol Javier Bardem. Les prémices d’une histoire qui a bien failli briser sa vie, selon elle.

Une célébrité destructrice

« Je suis devenue très célèbre en Espagne, en Angleterre et aux Pays-Bas, souffle-t-elle. Les Espagnols considéraient qu’il était normal qu’un homme marié ait des amantes. En Angleterre, parce qu’il était le chouchou du public, on me détestait. Et aux Pays-Bas, ils étaient ravis, j’étais leur seul lien avec David… »

« C’était brutal, poursuit-elle. Dans une émission, par exemple, un homme a osé dire qu’il me connaissait et que j’étais une prostituée. Je n’avais jamais eu affaire à lui. Un autre homme a affirmé avoir été avec moi sur le yacht de Ronaldo au Brésil, où, selon lui, j’aurais couché avec tous les footballeurs… alors que je ne suis jamais allée au Brésil. Mes parents enregistraient tout sur VHS, ils ont souffert… »

Entre 2003 et 2007, Rebecca Loos a travaillé au service de la famille Beckham. « Mon job était de prendre soin de Victoria, de lui montrer Madrid, de l’emmener faire du shopping. Il fallait s’assurer que la ville lui plairait, qu’elle en profite. C’était difficile de travailler pour eux parce que tout le monde avait besoin de moi. J’étais la première personne à voir les Beckham le matin, à leur proposer un programme, à chercher une école pour leurs enfants. C’était très intense les jours où ils ne voyageaient pas et étaient à Madrid. »