Les « convois de la liberté » continuent leur route vers Paris, malgré l’interdiction de manifester de vendredi à lundi décrétée par le préfet de police. Plus de 7000 policiers et gendarmes sont mobilisés. La moindre personne qui entraverait la circulation risque jusqu’à deux ans de prison, 45.000 euros d’amende, et six points de retrait sur son permis de conduire.