Passé complètement au travers (64eme), vendredi lors du sprint de Pokljuka sur cette même neige où il avait signé l’un des plus beaux exploits de sa carrière deux ans plus tôt, Emilien Jacquelin a tenu des mots très forts ensuite. Au-delà de ne pas retrouver son talent, le Grenoblois s’inquiète en effet de ne plus retrouver son « bonheur ».