Marion Rousse retourne chez Eurosport !

Cette semaine n’a pas seulement marqué la grande rentrée de Julian Alaphilippe sous ses nouvelles couleurs. A l’instar du double champion du monde tricolore, qui a participé à la présentation de l’équipe Tudor, mardi, Marion Rousse a également effectué sa rentrée médiatique après plusieurs semaines de repos entre séjour en famille dans le sud de l’Espagne tandis que le coureur tricolore répétait ses gammes en vue de la nouvelle saison et fêtes de fin d’année en famille.

Mais cette semaine, Marion Rousse a repris le fil de ses activités et après une séance de questions-réponses pour son partenaire Ekoi, elle était dans la capitale pour un shooting photo puis un tournage pour Eurosport. Un moment immortalisé par son ancien collègue Guillaume di Grazia.

Car si la Nordiste est devenue l’un des visages emblématiques de France Télévisions, c’est bien chez Eurosport qu’elle a découvert le métier de consultante et ce alors qu’elle était encore en activité. Ambassadrice de la Fédération française de cyclisme, la jeune coureuse avait été tout d’abord invitée par Eurosport sur le plateau du magazine les Rois de la pédale, à l’occasion du Tour des Flandres. Malgré sa timidité, Marion rousse avait seulement accepté pour voir le fonctionnement d’une telle émission.

Marion Rousse, des débuts très remarqués

Mais très à son aise, elle avait marqué des points auprès de Guillaume di Grazia. « Bien sûr, je me dis qu’elle est jolie, mais je constate aussi que Marion est télégénique et parfaite dans le propos », avait-il confié auprès de L’Equipe en 2018. A tel point que dans la foulée de son titre de championne de France, Marion Rousse s’était vue proposer de remettre ça à l’occasion de la Vuelta.

« Guillaume m’a dit : “On voit que tu es passionnée par ton sport, pourquoi tu ne couvrirais pas le Tour d’Espagne avec nous ?” Je suis tombée des nues. Mais j’ai réfléchi et je me suis dit que ça me ferait un peu d’argent », avait-elle raconté. Malgré une première expérience réussie, Marion Rousse ne faisait pas la fière… « J’étais stressée. C’était la première fois qu’on voyait une femme consultante en cyclisme. Je me demandais comment les téléspectateurs allaient réagir, avait-elle expliqué, mettant les bouchées doubles pour être irréprochable : « J’ai toujours besoin de me rassurer, il faut que je sache tout sur tout le monde. Je suis en permanence sur tous les sites de vélo. Je suis gênée de venir solliciter les coureurs après une étape, alors je fais le maximum pour poser des questions intéressantes et pas bateau. »