À Marseille, deux gangs s’affrontent dans une guerre sanglante qui font des victimes collatérales, comme le retraité de 63 ans qui a été tué dans la nuit du 24 au 25 avril à côté d’un point de deal. Pour Hassan Hammou, fondateur du collectif « Trop jeune pour mourir », « les habitants sont les grands pris en otage » de cette guérilla urbaine.