Max Verstappen, un heureux événement et une mauvaise nouvelle ?

Les bonnes nouvelles s’enchaînent pour Max Verstappen. Le pilote néerlandais, récemment sacré champion du monde pour la quatrième année consécutive, a en effet fait une grande et belle annonce à l’amorce du dernier week-end de course de la saison: la naissance à venir de son premier enfant. Une annonce partagée avec sa compagne, Kelly Piquet, fille du triple champion du monde Nelson Piquet, sur les réseaux sociaux.

« Un mini Verstappen-Piquet est en chemin. Nous ne pourrions pas être plus heureux avec notre petit miracle », a ainsi écrit le couple sur Instagram, à quelques heures de la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Abu Dhabi.

Si à 35 ans, Kelly Piquet est déjà la mère d’une petite fille, Pénélope, née en 2019 de sa relation avec le pilote russe Daniil Kvyat, Max Verstappen s’apprête à devenir père pour la première fois. Une donné susceptible de changer sa manière de courir. Certains sportifs, à l’image de Julian Alaphilippe, n’hésitent pas à affirmer que la naissance de leur premier enfant avait en effet modifié leur approche des risques. Une idée réfutée en son temps par Kimi Raïkonnen.

« Je ne pense pas que les enfants fassent une quelconque différence »

« Je ne pense pas que les enfants fassent une quelconque différence. Il y a beaucoup d’histoire terribles basées sur rien du tout en F1. Je n’ai pas senti de changement dans mon pilotage quand la famille s’est agrandie, donc je ne sais pas » , avait-il confié après la naissance de son premier enfant, ajoutant : « Je pense que ça dépend aussi d’une personne à l’autre. Parfois, cela peut avoir un effet mais de notre côté, de mon côté, je ne ressens pas cela. Bien sûr, la vie change beaucoup en dehors de la course mais oui, en termes de pilotage, je n’ai pas senti d’effet. » 

« Les pilotes de F1 sont normaux et quand nous pilotons nous ne pensons pas au fait que nous avons une famille et des enfants, nous voulons aller aussi vite que possible, avait de son côté expliqué Sergio Perez. Je pense que ça change en dehors de la compétition, on dort beaucoup moins en surveillant les enfants ! Tout à coup, le week-end de course en F1 devient un jour de vacances car vous dormez plus longtemps, mais c’est vraiment génial et ça ne nous affecte pas. Si ça retire une seconde, ça veut dire qu’on était très rapide avant ! »