En quête de nouveaux indices pouvant expliquer les circonstances de la mort du petit Émile, une centaine de gendarmes restaient mobilisés mercredi au Haut-Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence. Le dispositif a toutefois été légèrement allégé puisque les chiens de quête, spécialisés dans la recherche de restes humains, sont repartis dans leur unité.