Le festival parisien, qui s’est déroulé du 23 au 27 août, est l’un des premiers à accueillir les militantes de l’association féministe Nous Toutes pour effectuer des maraudes. Le but ? Repérer les personnes vulnérables, aider celles en difficulté, intervenir en cas de harcèlement ou de violences, mais aussi se montrer et reconquérir l’espace public, pour dissuader et montrer “que nous sommes là”.