Qui est l’ancien compagnon tyrannique de Marion Bartoli ?

Les années passent et Marion Bartoli est toujours aussi dur avec celui qui fut son compagnon durant près de deux ans, quelques mois seulement après l’arrêt de sa carrière, dans la foulée de son sacre à Wimbledon. Près de dix ans après, l’ancienne joueuse a de nouveau dit tout le mal qu’elle pensait de celui qui lui a fait vivre un véritable calvaire durant leur relation.

« J’étais un homme qui passait son temps à me dénigrer. Il me répétait : « Regarde la fille dans la rue, elle est plus mince que toi. » Je n’avais jamais un compliment », a-t-elle ainsi raconté dans les colonnes du Parisien à l’occasion de la sortie de son livre Kato Queen. Ces attaques à répétition sur son poids vont plonger Marion Bartoli  dans les affres de l’anorexie. «  Je voulais lui prouver que j’étais capable de rentrer dans un 36. J’ai restreint mon apport alimentaire à l’extrême, jusqu’à 400 calories par jour. J’ai développé des troubles sans m’en rendre compte », a-t-elle expliqué, ajoutant avoir dû être hospitalisée trois mois afin d’« arrêter de se suicider ».

Un banquier anglais prénommé Joseph

Sortie d’affaire, Marion Bartoli avait très vite fustigé le comportement de son ancien compagnon.  « Il m’ fait vivre un enfer. C’était vraiment un connard absolu, disait-elle alors qu’elle préparait son retour à la compétition. En raison de ma personnalité, j’avais accepté des choses inacceptables, ça m’avait totalement détruite. » Quelques mois plus tôt, elle semblait pourtant vivre un comte de fée, évoquant ses envies de mariage. « Mais en Angleterre, ils prennent leur temps. »

Son compagnon était en effet un sujet de Majesté. Prénommé Joseph, il était banquier à Londres et Marion Bartoli s’était très vite retrouvée sous emprise. Après une première apparition dans la Royal Box à Wimbledon, le couple avait officialisée leur relation à l’occasion de l’US Open, la native du Puy-en-Velay n’hésitant pas à embrasser son nouveau partenaire,  de trois ans son aîné. Marion Bartoli était alors conquise. « Je n’ai pas de plan, je marche à l’instinct. Et cela m’a toujours réussi », soufflait-elle seulement.