Après la mort de Thomas à Crépol le 18 novembre dernier, de nombreux groupuscules violents de l’ultradroite s’organisent pour faire des « ratonnades ». C’est un procédé qui consiste à organiser des expéditions punitives ou brutales contre des Maghrébins. D’après le sociologue spécialiste de l’extrême droite, Emmanuel Casajus, « ils ont un savoir-faire de la violence ».