Selon une étude de l’IFOP pour Le Journal du Geek, 4 Français sur 10 fouillent en cachette le téléphone de leur conjoint. Une mauvais habitude appelée le « snooping ». Une tendance qui s’observe notamment chez les moins de 35 ans et qui pourrait être symptomatique de violences conjugales, puisque 52% des victimes de violences conjugales interrogées disent avoir subi du « snooping » de la part de leur partenaire.