Tony Parker, la lourde sanction tombe

Tony Parker a eu les oreilles qui ont sifflé ces dernières semaines. Conséquence des accusations proférées par une candidate de l’émission « Qui veut être mon associé ? ». selon lesquelles l’ancienne star de la NBA n’avait pas investi les 200 000 euros promis après la présentation de son projet.

« Il y a eu vraiment un gros problème de gestion des investissements de la part de l’équipe de Tony Parker », avait-elle lancé auprès de Radio France, expliquant que ce désengagement soudain du propriétaire de l’Asvel n’était pas un cas isolé. « Pour une dizaine d’entre eux, ça s’était très mal passé, qu’il n’y avait pas eu les investissements promis, ou une attente très longue et toujours rien », avait-elle affirmé.

« On ne va pas faire un business en vingt minutes de présentation »

« J’ai soutenu plusieurs candidats de l’émission, mais sans avancer de montant précis », s’était contenu de répondre TP. Face à la polémique, l’ancien Spur est revenu dans le détail auprès du Progrès sur le cas de son accusatrice. « C’est dommage que les journaux fassent des raccourcis, a-t-il tout d’abord regretté. Déjà, la promesse était de 100.000€ pour moi et 100.000€ pour Marc Simoncini. »

« Quand vous faites cette émission, bien sûr qu’il y a des due diligence (audit, vérification…), mais il n’y a pas de garanties. Encore heureux! On ne va pas faire un business en vingt minutes de présentation! Et, si la due diligence ne passe pas, vous ne faites pas le deal », a-t-il poursuivi, ajoutant : « Je comprends qu’elle soit déçue, mais beaucoup de choses que cette dame a dites dans l’émission étaient floues. Partant de là, Marc et moi avons décidé de ne pas faire le deal. »

Et Tony Parker de poursuivre en estimant « dommage et injuste que l’on essaie de taper sur les gens qui investissent en France, qui créent des emplois alors que j’aurais pu prendre mon argent et le faire aux États-Unis ».