En équilibre sur un barrage, Ray Gall, trappeur canadien, avance avec précaution: il vient récupérer sa prise du jour, un gros castor noir coincé dans son piège posé deux jours plus tôt.
Désormais, rares sont ceux qui vivent uniquement grâce aux revenus de cette activité ancestrale, très encadrée… – Lire la suite sur FranceSoir.fr
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© Cole BURSTON / AFP
– Trappeur, plus vieux métier au Canada, mais un « héritage » qui ne rapporte plus