La cour a considéré les faits qui lui sont reprochés « d’une extrême gravité », soulignant qu’il était « resté sur zone pendant quatre ans » et avait participé pendant plus d’un an à « des combats au sein d’un groupe terroriste ». Cela « atteste d’une adhésion persistante à l’idéologie » jihadiste, a estimé le président David Hill.