Pour attirer les voix des eurodéputés lors de sa réélection, Ursula von der Leyen s’est déclarée en faveur de l’échéance de 2035 auprès des pro électriques et a autorisé les carburants de synthèse pour calmer les ardeurs des anti. Une manœuvre qui lui a réussi, mais qui ne résout aucun problème pour l’avenir. L’automobile est-elle devenue un simple élément de langage politique ?
L’automobile, simple prétexte pour une réélection ?
Pour attirer les voix des eurodéputés lors de sa réélection, Ursula von der Leyen s’est déclarée en faveur de l’échéance de 2035 auprès des pro électriques et a autorisé les carburants de synthèse pour calmer les ardeurs des anti. Une manœuvre qui lui a réussi, mais qui ne résout aucun problème pour l’avenir. L’automobile est-elle devenue un simple élément de langage politique ?