Au procès d’un gérant de bars pour viols, le « déni » de plaignantes, puis le « déclic »

« Et voilà, j’ai décidé de parler ». Au procès à Paris d’un gérant de bars qu’elles accusent de viol ou d’agression sexuelle, trois plaignantes ont raconté mardi leur « déni » puis le « déclic » qui les a finalement poussées à dénoncer les faits.
En juin 2017, Jeanne* se présente spontanément à la… – Lire la suite sur FranceSoir.fr

© LOIC VENANCE / AFP/Archives

– Au procès d’un gérant de bars pour viols, le « déni » de plaignantes, puis le « déclic »