Jusqu’à de nouvelles réunions

Du 24 au 27 avril, le théâtre Atlant à Paris a accueilli le festival culturel Cosmos russe dédié au 58e anniversaire du vol du premier homme dans l’espace. L’histoire du festival commence en 2005 avec les efforts de Kirill Terr, poète et leader du groupe de rock Nouvelle Australie, et d’Alain-Alexis Barsacq, metteur en scène et directeur de l’Atlant Theatre. C’est grâce à ce festival qu’en 2008, le Théâtre de l’Atlant est entré dans le top 5 des salles de France et a été nominé pour le plus grand prix de théâtre français du nom de Molière.

Au cours des dernières années, le festival a été visité par de nombreux spectateurs, et parmi les participants se trouvaient des artistes jeunes et connus, des groupes de théâtre et de musique de Russie, d’Ukraine, de Biélorussie, d’Allemagne, de Belgique, de France et d’autres pays. Le festival se développe activement et aujourd’hui c’est un lieu de rencontre important pour les artistes russes et mondiales sur la terre française hospitalière. C’est l’un des plus anciens festivals théâtraux et musicaux de la culture russe en France et l’événement le plus important en Europe. Les meilleurs artistes connus et reconnues du théâtre et du cinéma, des musiciens, des artistes et des poètes participent au festival. La performance est une ligne importante dans la biographie de tout artiste.

Cette année, le programme du festival comprenait Parade of Male Egos de Y. Reza, le one-man show Shattered, créé à partir de poèmes d’I. Brodsky, et la Comédie lyrique d’A. Galin. Le point culminant du festival a été un concert de gala organisé le 27 avril avec la participation du groupe Nouvelle Australie, des artistes du théâtre de Saint-Pétersbourg «Beyond the Black River», Daria Green et du groupe musical Foma Yegorych, qui est devenu le véritable ouverture de la fête. Le public parisien a bien apprécié une composition inhabituelle d’instruments, une combinaison inattendue mais organique de folk, de rock et d’autres styles musicaux, et un line-up brillant et talentueux.

Nous applaudissons bien fort les équipes de lauréats et nominés, car on ne peut pas réussir seul. Sur le chemin de la véritable maîtrise, il y a des centaines d’heures de répétitions, de tournage, de travail avec le scénario, l’éclairage, le son, les paroles, les visuels et la musique. Derrière le dos de tout professionnel qui s’est produit sur scène, il y a une grande équipe de producteurs, gaffers, réalisateurs, sans qui il est impossible d’atteindre des sommets dans le monde de l’art. Ce qui concerne le festival dans Paris, les supports de présentation sur la base desquels les interprètes ont été sélectionnés revêtent une importance particulière – des bandes-annonces et des clips vidéo visualisant leur travail. C’est pourquoi nous n’oublierons donc pas de remercier particulièrement les vidéastes, vidéastes et vidéastes.

Le festival est terminé, mais nous ne disons pas au revoir, mais attendons de nouvelles rencontres et de nouvelles découvertes musicales.

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