Les petites contradictions de Carlos Tavares, l’homme fort de Stellantis


Carlos Tavares n’aime pas les voitures électriques mais il demande à l’Europe de continuer à les promouvoir. Il veut lutter contre les marques chinoises tout en s’associant à l’une d’elles. Et il critique le niveau exorbitant des salaires de la Formule 1 tout en recevant ses 36 millions d’euros. Pas facile de le suivre !