Mois : janvier 2023

Le président de la Fédération française de football est sous le feu des critiques après ses propos tenus à l’encontre de Zinedine Zidane. Raphaëlle Rémy-Leleu conseillère EELV de Paris et militante féministe, qualifie Noël Le Graët de « honte internationale pour le football français » et appelle à sa démission.

Le président de la Fédération française de football est sous le feu des critiques après ses propos tenus à l’encontre de Zinedine Zidane. Des propos qui ont « heurté »  Emmanuel Macron, a confié Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports lors d’une conférence de presse. 

La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, s’est exprimée ce lundi soir au lendemain des propos polémiques du président de la Fédération française de football, Noël Le Graët, sur l’ancien champion du monde français Zinédine Zidane.

Sur BFMTV ce lundi soir, Jérôme Rothen déplore l’image que Noël Le Graët renvoie du football français, après ses propos à l’encontre de Zinedine Zidane.

Le président de la FFF a présenté ses excuses après ses propos polémiques à l’encontre de Zinédine Zidane sur l’antenne de RMC, dimanche dernier. Il affirmait sèchement « ne pas avoir appelé Zidane ». Quant à la rumeur de sa nomination à la tête de la sélection brésilienne, Noël Graët a répondu : « J’en n’ai rien à secouer ». Ces propos ont provoqué de nombreuses réactions dans le monde du football : de Kylian Mbappé à Éric Borghini, membre du comité exécutif de la FFF.

Depuis le lancement de la vaccination en population générale, de nombreuses études scientifiques confirment un risque de myocardite survenue après la vaccination anti-Covid. L’inflammation du myocarde toucherait majoritairement des hommes jeunes, des adolescents ou des enfants.

Ce lundi, une skieuse d’une cinquantaine d’années est décédée dans une avalanche dans les Alpes-de-Haute-Provence. Retrouvée sous quatre mètres de neige et en arrêt cardio-respiratoire, la victime est décédée malgré l’intervention des secours. Quatre membres du groupe ont également été emportés mais n’ont pas été blessés.

Le procès de six personnes, accusées notamment « d’actes de torture et de barbarie » ou de s’être abstenues d’intervenir, s’est ouvert lundi aux assises de Douai. Les principaux accusés sont jugés pour « actes de torture et de barbarie ». La mère, qui comparaît libre, est soupçonnée d’avoir assisté à certains épisodes de violence contre son fils.