Les profits des constructeurs sont, pour certains d’entre eux, flamboyants, mais en parallèle, le déficit du commerce extérieur de la filière s’aggrave. Paradoxe ? Pas vraiment : la réindustrialisation promise tarde à venir et les marques profitent des pays ou le prix de la main-d’œuvre est moins élevé qu’en France. En parallèle, la transition vers l’électrique, qui se traduit déjà dans les ventes, ne touche pas encore les usines.
Alors que les constructeurs affichent des bénéfices, le déficit commercial de l’automobile n’en finit plus de chuter
Les profits des constructeurs sont, pour certains d’entre eux, flamboyants, mais en parallèle, le déficit du commerce extérieur de la filière s’aggrave. Paradoxe ? Pas vraiment : la réindustrialisation promise tarde à venir et les marques profitent des pays ou le prix de la main-d’œuvre est moins élevé qu’en France. En parallèle, la transition vers l’électrique, qui se traduit déjà dans les ventes, ne touche pas encore les usines.