Et si Renault était plus fort que Nissan ?


Endetté, vendu par tranches, le groupe Renault a connu des jours plus glorieux. Pourtant, les agences de notation, et derrière elles, les marchés, croient dur comme fer en l’avenir de l’ex-régie, et au plan ambitieux de Luca de Meo. Ils considèrent même que le grand perdant de la mini-Alliance redessinée il y a quelques jours n’est pas Renault, mais bel et bien Nissan.