Si Renault France adopte la même stratégie que sa division au Royaume-Uni, les prix de la Mégane E-Tech électrique pourraient bientôt baisser de 2 000€ au minimum.
À partir du 1er janvier 2024, la Région Île-de-France mettra davantage la main à la poche pour l’acquisition d’un véhicule électrique tout en s’inspirant du principe du prochain bonus écologique. Seulement, il faut remplir certaines conditions et les modèles éligibles sont peu nombreux.
Les ventes de véhicules électriques décollent, c’est un fait. Et mécaniquement, ils se retrouvent sur le marché de la seconde main en plus grand nombre. Nous avons donc pris le top 5 des modèles les plus vendus en neuf, et avons comparé leur décote sur le marché de l’occasion. Lesquels sont des stars, lesquels plaisent moins ? La réponse dans cet article.
La crainte de la mise en place des Zones à Faibles Émissions plane au-dessus de plus de cinquante agglomérations sur le territoire. Voilà qui donne à réfléchir pour acquérir un modèle bénéficiant de la meilleure vignette Crit’Air. D’ailleurs, peut-on s’offrir une berline compacte autorisée à rouler dans ces ZFE dans un budget raisonnable ?
Il a fallu du temps, mais Peugeot propose enfin une berline compacte électrique avec cette e-308 dérivée des modèles thermiques. Sur son chemin, elle trouve deux autres stars tricolores : la récente Renault Mégane E -Tech et la doyenne Citroën ë-C4 qui a eu droit récemment à quelques évolutions techniques. Caradisiac a décidé de désigner la meilleure des trois Françaises.
La nouvelle entité Ampère, fruit de la scission de Renault en deux entités fait beaucoup parler d’elle. Bien plus que l’autre unité crée l’été dernier : Horse, dédiée au thermique. Un cheval uniquement destiné à fabriquer des autos low cost pour les pays du sud, ceux qui n’auront pas basculé en 2035 ?
À sa création en Italie au XVIIIe siècle, le Cabriolet est une voiture à cheval, reposant sur deux roues et n’offrant que deux places. Elle est bien sûr munie d’une capote que l’on peut escamoter par beau temps. Ce moyen de transport connut à Paris un succès certain durant tout le XVIIIe siècle.
On les appelle également « berlines compactes » ou « compactes » tout court. Il s’agit de véhicules dont le gabarit se situe à mi-chemin entre la citadine polyvalente et la familiale. Soit globalement aujourd’hui entre 4,20 m et (jusqu’à) 4,55 m pour les plus grandes (Honda Civic, Mazda 3, feu Lancia Delta 3). La plupart du temps, leur profil est à deux volumes et hayon assez vertical.
Amateurs de compactes sportives, profitez bien de ce moment, car il risque d’être le dernier. La Mégane RS, modèle iconique de ce segment va prochainement disparaître et comme chant du cygne, affronte aujourd’hui une des rares nouveautés de la catégorie : la Honda Civic Type R.
La compacte électrique de la marque au losange propose à nouveau les petites batteries d’entrée de gamme pour abaisser son prix de base à 38 000€ au lieu de 42 000€.
Si les berlines traditionnelles séduisent de moins en moins au profit des SUV. Elles sont toujours bel et bien présentes sur le marché de l’occasion. C’est d’ailleurs les modèles tricolores qui caracolent en tête des annonces. Laquelle des Citroën C4, Peugeot 308, Renault Megane et DS 4 affichent la plus forte décote pour faire la meilleure affaire ? Réponse, chiffres à l’appui.
Les petites GTi ont déserté les catalogues des constructeurs, et les compactes sportives prennent le même chemin, malgré leur art du compromis. Heureusement, il y a le marché de l’occasion qui offre un large choix pour presque toutes les bourses. Voici notre sélection de modèles à sensation forte, sans pour autant casser sa tirelire.
Quelle autonomie peut-on espérer avec une électrique quand on dépasse les 130 km/h ? Une question que l’on peut se poser quand on emprunte les autoroutes allemandes à vitesse illimitée. Nous avons voulu y répondre lors d’une escapade Outre-Rhin avec une Megane électrique EV60. Hélas, plus on roule vite, plus on perd du temps…
L’autonomie, c’est le nerf de la guerre des électriques. Sauf que dans la « vraie vie », on est souvent loin des valeurs relevées lors de l’homologation WLTP. Surtout lorsque l’on évolue sur voies rapides, où la consommation grimpe en flèche, et où l’on recharge rarement plus de 80 % de la batterie, les ravitaillements s’éternisant au-delà. Pour y voir plus clair, Caradisiac vous révèle ses propres mesures, temps de charge compris. On commence par la Renault Megane EV60.
Vous cherchez une compacte électrique, pourquoi ne pas choisir la Renault Mégane E-Tech ? Cette cinquième génération de Mégane uniquement disponible en électrique se classe depuis ses débuts de commercialisation à la vingt-sixième place des ventes en France. Afin de tout connaître d’elle et de savoir quel est le meilleur couple motorisation/finition, suivez le guide.
Le constructeur français ne compte pas entrer « dans une spirale » des prix pour ses modèles électriques. Une position plutôt périlleuse dans la conjoncture actuelle.
Le Renault Captur Plug-In vient de quitter définitivement le catalogue de la marque et la Mégane hybride rechargeable vient elle aussi de disparaître du configurateur. Cette technologie coûte-elle trop cher sur les modèles compacts du constructeur ?
Performante, avec son puissant 2,0 l turbo, la Mégane 180 ch se montre bien agréable, et existe même en version GT au châssis préparé par Renault Sport. Parfait pour se faire plaisir sans se ruiner, et en famille car elle existe non seulement en coupé mais aussi en berline et break.
Le troisième volet de notre saga « sleeper » reste fidèle à la philosophie de ces autos : des lignes sages, mais un tempérament de feu. Moteur quatre cylindres turbo ou V8, carrosserie berline, break voire SUV, voici notre sélection pour le moins éclectique.
Besoin d’espace et d’une grande soute pour transporter armes et bagages ? Les SUV et les variantes break remplissent parfaitement ce contrat, mais avec une philosophie différente. Prix, volume de coffre, aspects pratiques, laquelle des deux variantes est à privilégier ?
Cette semaine dans « à contre-courant », nous vous proposons des alternatives « thermiques » à la berline électrique Renault Mégane E-Tech. Arrivée sur le marché en 2022, la Renault Mégane E-Tech participe à la stratégie d’électrification de la marque au losange (Renaulution). La Mégane E-Tech affiche une allure crossover et elle la première Renault à utiliser une plateforme exclusivement dédiée aux motorisations 100 % électriques.
Quand l’un affiche des résultats démentiels, l’autre sort à peine du gouffre. Et pourtant, aux yeux du public, l’image de Peugeot est en baisse de deux points, même si elle reste bonne, alors que celle de Renault progresse carrément de 6 points.
La version finale de la Renault Mégane RS coûte quasiment aussi cher que la récente Honda Civic Type R. Elle marque la fin de 20 ans de plaisirs sportifs extraordinaires chez Renault Sport et sera limitée à 1976 exemplaires.
Endetté, vendu par tranches, le groupe Renault a connu des jours plus glorieux. Pourtant, les agences de notation, et derrière elles, les marchés, croient dur comme fer en l’avenir de l’ex-régie, et au plan ambitieux de Luca de Meo. Ils considèrent même que le grand perdant de la mini-Alliance redessinée il y a quelques jours n’est pas Renault, mais bel et bien Nissan.
Renault a décidé de supprimer le moteur d’entrée de gamme de sa compacte électrique associé aux petites batteries de 40 kWh. La Mégane E-Tech démarre donc désormais à 42 000€.
Essence, diesel, hybride, hybride rechargeable, électrique : voici toutes les carburations aujourd’hui disponibles à la vente. Mais quelle est la plus adaptée pour partir en vacances ou en week-end à 500 km de Paris ? Réponse avec ce roadtrip mettant aux prises toutes ces carburations entre la Capitale et les Rousses dans le Jura.
Renault enrichit l’offre de la nouvelle Mégane d’une combinaison dédiée à l’efficience. Petit moteur, grosse batterie et charge rapide sont regroupés sous l’appellation « ER » pour Extended Range. Ainsi équipée, la Mégane est censée s’approcher des 470 km en une charge.
Avec des résultats en hausse, une augmentation des marges, et le retour des dividendes aux actionnaires, le Losange va mieux. Est-il pour autant sauvé ? Rien n’est moins sûr, au risque de tempérer quelque peu l’enthousiasme de Luca De Meo