Les acheteurs de voitures sont ils ringards (voir réacs) ?


On leur dit de prendre les transports en commun ? Ils préfèrent la voiture. On les pousse vers l’électrique ? Ils restent réticents. On leur explique qu’il faut acheter leur véhicule plus cher et sur Internet ? Ils privilégient les points de vente physiques. D’après une étude du cabinet Deloitte, l’homo automobilicus n’a pas vraiment changé malgré les nombreuses injonctions politiques et industrielles. Est-il ringard et réac ou se méfie-t-il des incertitudes d’un futur aléatoire et trop cher ?