Route de nuit – Le Corniaud, le Youkounoun, la 2ch et la Cadillac racontés par les protagonistes du film


Lorsque deux monstres du cinéma populaire français discutent de leur dernier film tourné ensemble, on les écoute. Et lorsque, dans la même conversation, ils parlent automobile, on prête l’oreille plus attentivement encore. Nous sommes en 1965, et Bourvil et de Funès évoquent le long-métrage de Gérard Oury qu’ils viennent d’achever, mais aussi quelques histoires de voitures, vraies ou pas.

Route de nuit – vertus et déconvenues de l’auto-stop


Il est passé de mode, au profit du covoiturage payant. Mais l’auto-stop, outre sa gratuité avait un avantage que l’on ne goûte plus guère aujourd’hui : l’incertitude. Celle qui permettait d’être sûr de son heure de départ, mais pas forcément de son horaire d’arrivée. Un historien et un écrivain se sont penchés sur cette pratique, aujourd’hui désuète.

Quand Octave Mirbeau donnait comme titre à son livre son propre numéro d’immatriculation


C’est un OVNI littéraire et pour son auteur, Octave Mirbeau, le récit de son long voyage en voiture, ne pouvait avoir d’autre titre que les numéros de la plaque d’immatriculation de celle-ci. Paru en 1908, le livre s’appelle tout simplement La 628 E8 et c’est un mélange des genres, entre ragots, poésie dédiée à la liberté et ode à l’automobile.

Route de nuit – Éloge du bon goût : comment transformer son auto en sapin de noël.


Souvent, à l’approche des fêtes de fin d’année, les maisons se parent de décorations voyantes et clignotantes. Mais pourquoi les voitures échapperaient-elles à cet embellissement pour les uns ou cet acharnement pour les autres ? Nous avons trouvé quelques solutions pour y parer. Et parer son auto pour Noël.

Route de nuit – Baby Driver : l’enfance de l’art (cinématographique)


Le long métrage d’Edgar Wright, sorti en salle en 2017 et disponible actuellement sur Netflix, cache derrière son scénario bateau un film parfaitement maîtrisé, des personnages bien traités et des comédiens époustouflants, en plus de ses courses-poursuites réjouissantes. Quatre bonnes raisons pour que tous ceux qui ont raté baby Driver au cinéma s’offrent une séance de rattrapage.