Corée du Nord – Volvo : la petite histoire d’une énorme ardoise


En 1974, la dictature communiste a commandé 1 000 Volvo 144 d’une valeur totale de 37 millions de dollars. Une somme que la Corée du Nord n’a jamais voulu régler au constructeur suédois. Récit d’une embrouille diplomatico-commerciale et diplomatique. Ou, plus simplement, d’une escroquerie.

Les splendeurs du Musée de la Voiture de Compiègne


Vous voulez du rétro ? Vous serez servis avec le Musée National de la Voiture de Compiègne et pour cause : situé dans l’aile gauche du château bâti par Louis XV et Louis XVI, et où ont également régné Napoléon Ier puis Napoléon III, il regroupe une collection de cycles, de véhicules automobiles, et même hippomobiles du XVIIe au début du XXe siècle. Un lieu exceptionnel pour les passionnés d’Histoire… Vous remontez le temps avec nous ?

BMW 318ti vs Mercedes-Benz C180K Coupé Sport, duel de propulsions pas chères, dès 3 500 €


Présentées comme dynamiques par leurs constructeurs respectifs, les 318ti et C180K Coupé Sport s’en tiennent à 143 ch mais peuvent offrir des plaisirs typiques avec les roues arrière motrices. Bien finies, elles ne sont en outre pas chères. Le choix s’annonce donc difficile !

Kia : un emblème illisible ?


Redessiner son emblème, c’est bien. Encore faut-il que ce dernier reste lisible. Hélas, celui de Kia trompe son monde puisque, depuis son restylage en 2021, 30 000 personnes chaque mois tenteraient de trouver des véhicules « KN » sur Google. Heureusement, le moteur de recherche parvient à guider vers le site du constructeur Sud-Coréen.

Guerre de 14 : les Renault des taxis de la Marne n’avaient pas le monopole du front


Lorsque l’on évoque l’automobile et son utilisation durant la première guerre mondiale, dont l’issue a été commémorée hier, on pense souvent aux taxis de la Marne signés Renault. Mais non seulement tous les taxis légendaires n’étaient pas issus des usines du losange, mais de plus, d’autres marques ont participé à l’effort de guerre sous d’autres formes.

DESIGN by BELLU : Hongqi, parader avec style


Nous voilà rassurés. À l’issue du suspense insoutenable qui a pesé sur le XXe Congrès du Parti communiste chinois (PCC), Xi Jinping a été réélu à la tête du Parti. Au passage, le timonier a renforcé ses pouvoirs, juste reconnaissance de ses actions en faveur des droits de l’homme. Soulagement du côté des Ouïgours qui ne perdront plus leur temps à espérer des jours meilleurs. Au passage, Xi s’est prestement débarrassé de son prédécesseur Hu Jintao… qui ne l’avait pas volé car l’impudent avait osé faire une remarque déplacée. Or, derrière ses allures débonnaires et sa dégaine rassurante du grand-père idéal, il ne faut pas le chercher le chef suprême.