Série d’été – les pires voitures jamais essayées : Lada Priora


Lada Priora, voici un modèle qui n’est clairement pas resté dans les esprits, sauf dans le mien. Il s’agissait en réalité d’une véritable machine à remonter dans le temps. Elle proposait une expérience unique, ou presque, au milieu des années 2000 : celle de rouler dans une voiture neuve avec les sensations d’un modèle des années 80.

Série d’été – Les pires voitures jamais essayées : la Lada Kalina 1117


Tacler une Lada : un peu facile… Mais en essayant cette Kalina 1117, j’avais tellement l’espoir que la marque sorte un petit break bon marché répondant aux attentes des Européens que la déception face à ses incompétences fut incommensurable. Et surtout, la Russe avait un défaut auquel je ne m’attendais pas du tout : une odeur curieusement nauséabonde à bord…

L’auto des voisins – Joël, le roi de la bricole, et son Lada Niva boite à outils


Les 4×4 purs et durs sont aujourd’hui affichés à des prix inaccessibles. Joël a trouvé la solution : elle est russe et s’appelle Lada Niva. Il s’est offert un modèle 2008, au GPL, qu’il a payé 5 000 euros et qui ne totalisait que 60 000 km au moment de son achat. Depuis, il n’a rencontré aucun problème pour trouver les pièces nécessaires, et en grand bricoleur, il a transformé son coffre en une immense boîte à outils.

Une ville entière pendue à l’avenir de Renault en Russie


Suite à l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes et les sanctions internationales qui s’ensuivirent, c’est toute une ville qui retient son souffle et se sait en sursis. Largement dépendante de l’usine automobile d’AvtoVAZ, appartenant au groupe Renault, et qui produit les Lada, Renault et Dacia pour le marché local, la ville russe de Togliatti est au bord du chaos.

Carlos Ghosn et Vladimir Poutine : des relations « ni chaleureuses, ni glaciales, mais amicales »


Difficile d’être l’actionnaire majoritaire d’une grande entreprise russe sans être en relation très directe avec le pouvoir de Moscou. Et à l’occasion du rachat d’AvtoVaz par Renault, en 2009, Carlos Ghosn et Vladimir Poutine se sont souvent rencontrés. Des rendez-vous que l’ex président de l’Alliance raconte dans son livre, et que Le Monde rappelle dans son édition d’hier. Des souvenirs qui prennent aujourd’hui un relief particulier.

Guerre en Ukraine : quelles conséquences pour l’automobile ?


L’offensive déclenchée par Vladimir Poutine risque d’avoir un impact sur l’industrie automobile et pétrolière française. Et même si le groupe Renault et Total sont plus exposés que réellement menacés, le retentissement de la guerre en Ukraine pourrait avoir de conséquences jusque sur le pouvoir d’achat des particuliers.